Sankara Karamoko en Serbie

23 juil 15:58
Sankara Karamoko

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Nouveau départ pour le buteur ivoirien

Ah, la vie de footballeur, on croit souvent que c’est stable, mais en réalité, tout peut changer sur un simple coup de fil. C’est ce qui est arrivé à Sankara Karamoko, ce jeune Ivoirien de 21 ans, qu’on avait vu débarquer à Wolfsberger AC avec de beaux rêves et plein d’énergie. Mais voilà, l’Autriche, c’est joli pour les vacances, pas toujours idéal quand ton temps de jeu se compte sur les doigts de la main.

Karamoko, lui, a faim de ballon, de minutes, de buts. Le voir jouer surtout avec la réserve, c’était frustrant, même pour les fans du club. Un joueur aussi explosif, on espérait le voir percer un peu plus vite… alors forcément, il a fini par vouloir tenter sa chance ailleurs. Et pourquoi pas la Serbie, après tout ? Pas franchement la première destination à laquelle on pense pour progresser, mais le FK IMT Belgrade a flairé le bon coup et s’est positionné.

Prêt d’une saison pour relancer la carrière

Un prêt d’une saison : c’est l’accord trouvé entre les deux clubs. Rien de bien compliqué sur le papier, mais il fallait tout de même régler la paperasse. Apparemment, tout est signé, on attend juste l’officialisation. Je vous avoue, j’ai déniché l’info sur Insta : une petite photo de Sankara, large sourire, ça sentait déjà le départ.

Formé à l’ASEC Mimosas (oui, cette fameuse pépinière ivoirienne), Sankara a clairement fait le choix de l’aventure et du temps de jeu. Il lui reste deux ans de contrat en Autriche, mais il préfère prendre son destin en main dès maintenant. Changer d’air, découvrir une nouvelle ligue, ce n’est jamais facile, mais ça forge un homme et un joueur – je me souviens d’un autre Ivoirien qui a percé comme ça, loin de chez lui, dans un championnat un peu obscur : aujourd’hui, il joue la Ligue des champions.

Un défi à relever pour Sankara Karamoko en Serbie

Réussira-t-il à Belgrade ? Personne ne peut vraiment le dire. Mais au moins, Sankara Karamoko ne reste pas là à attendre que le train passe. Il monte dedans, prêt à bousculer les certitudes et, qui sait, à se faire un nom de l’autre côté des Balkans. Bonne route à lui – et à suivre, forcément.

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